Pas toujours facile de dire non face à l’alcool qu’on soit en groupe ou seul.
Il existe plusieurs catégories de buveurs. L ‘Organisation Mondiale de la Santé définit 5 catégories :
– les personnes qui ne boivent pas d’alcool par goût personnel, par conviction religieuse ou qui sont abstinentes après des problèmes d’alcoolisme.
– les personnes à faible risque (cette consommation peut entraîner des conséquences mais le risque et faible)
Pour les femmes pas plus d’2 verres par jour ou pas plus de 14 verres par semaine et un jour de non-consommation.
Pour les hommes pas plus de 3 verres par jour ou pas plus de 21 verres par semaine et un jour de non-consommation.
et pas plus de 4 verres lors d’une occasion ( ces verres sont aussi comptés dans la consommation de la semaine)
pas de consommation si on conduit, si femme enceinte et si on a certaines pathologies.
– les personnes à risque : toutes les personnes qui boivent plus que ceux de la catégorie à faible risque mais qui n’ont pas encore de problèmes.
Risque sur la santé, l’alcool est un facteur de risque pour 200 maladies, risque de traumatismes, blessures par des accidents domestiques ou de la route.
Risque de violence.
–les personnes à problème : leur consommation d’alcool entraîne des problèmes. Problèmes de santé, d’accident de la vie courante ou de voiture, problème de justice, problème familiaux, problème au travail et dans la vie sociale… La personne peut avoir un seul problème ou en accumuler plusieurs.
– les personnes dépendantes physiquement à l’alcool (souvent appelées alcooliques dans le langage courant) : si la personne arrête sa consommation ou la diminue fortement elle va avoir des signes de manque: tremblement, angoisse, crampes, sueurs …
La personne peut passer d’une catégorie à l’autre au cours de sa vie.
Que vous vous interrogiez sur votre consommation d’alcool ou celle d’un proche. Que vous ayez envie de diminuer ou d’arrêter, je peux vous aider.
Je pars de vous, de votre demande. Je vous accompagne dans votre démarche à votre rythme et avec bienveillance. La prise en charge est globale nous parlons de votre consommation mais surtout de ce qui peux influencer celle-ci (soucis, stress, angoisse, histoire familiale) pour agir dessus.
Nous trouvons ensemble aussi comment remplacer l’alcool qui a pu être une aide, à un moment, par d’autres ressources bénéfiques pour vous et votre entourage.